Pourquoi cette médecine alternative nous est cachée?



Reportage et témoignage sur le Reiki
Pourquoi cette médecine alternative nous est cachée?





Reiki aux Urgences


Le Reiki existe depuis de nombreuses années, est pratiqué officiellement ou d'une façon plus discrète dans les milieux hospitaliers, mais personne n'en parle, cacherait-on les thérapies peu onéreuses pour les  patients, ou a-t-on peur de l'inconnu qui marche?

- par Pamela Miles -


« Ça peut pas faire du mal. Ça peut aider, et ça c’est mon travail – aider » 

dit Jay Ferrill,infirmier paramédical et deuxième degré de Reiki.

Ferrill est l’un des nombreux professionnels de la santé qui utilisent le Reiki avec (et jamais au lieu de) les protocoles d’urgence dans les ambulances, aux Urgences et dans les Centres de Santé et Permanences à travers le pays.

Effectivement, le Reiki proposé dans les hôpitaux n’est pas seulement disponible grâce aux programmes officiels mais aussi, il surgit spontanément des mains des praticiens qui sont des professionnels de la santé, comme un moment de guérison/«healing» dans le cadre de leur travail.

Puisque le Reiki est absorbé directement par le corps concerné, qu’on n’a pas besoin de mettre un diagnostic et que le praticien n’a pas besoin d’une concentration spéciale, les professionnels de la santé peuvent facilement et discrètement inclure le Reiki dans leur pratique habituelle.

Le Reiki peut être discret, c’est vrai, mais les résultats sont parfaitement visibles, spécialement dans les situations critiques.




Voici l’expérience de Nancy Eos, médecin, spécialisée en médecine d’urgence dans un hôpital rural de Michigan (USA). Elle a commencé à utiliser le Reiki dès qu’elle a eu son premier degré en 1990, en plaçant ses mains consciemment sur ses patients et en observant ce qui se passe. Nancy, un médecin terre-à-terre, qui avait aussi étudié le droit, n’était pas intéressée par les manifestations de la foi mais si le Reiki pouvait aider ses patients, elle était prenante.

Elle a eu une approche du Reiki critique, regardant attentivement s’il y avait des effets positifs chez ses patients et aussi s’il y avait des effets secondaires négatifs ou désagréables. Elle a fait cela d’une façon rigoureuse pendant 6 ans et est arrivée à la conclusion que plus elle intégrait le Reiki dans sa pratique, plus sa tâche en tant que médecin devenait facile. Elle est profondément convaincue que les patients ayant reçu ne serait-ce que quelques minutes de Reiki se rétablissent mieux que les autres et dévient souvent du chemin médical habituel. « Leur situation s’améliorait subitement ; après, ils continuaient un parcours de guérison plus doux qui ne demandait plus des interventions lourdes, tel que c’est le cas habituellement pour leur type de pathologie. »

Elle continue « La situation des patients ayant reçu du Reiki s’améliore presque toujours au-delà des attentes habituelles du point de vue médical. »

Les médecins dans les hôpitaux observent parfois chez leurs patients des récupérations spectaculaires et d’autres fois il y a des échecs inattendus. C’est la « routine » de tous les jours.

Suite à ses observations, Nancy Eos affirme que les patients qui ont reçu du Reiki ont beaucoup plus de chance de récupérations que les autres. Se rendant compte de l’énormité de cette affirmation, Nancy a suivi tous les patients à qui elle a donné du Reiki. Ce qui arrivait très souvent est que, une fois hospitalisés dans la section correspondant à leurs symptômes, l’état des patients venant des Urgences s’améliorait tellement que les médecins des sections respectives doutaient du pourquoi ils étaient hospitalisés ! Dans un grand hôpital d’une grande ville, ce fait aurait pu passer inaperçu. Mais pas dans le petit hôpital ou Nancy travaillait.




Les infirmières ont remarqué que Nancy réussissait à créer des réactions chez des patients qui habituellement ne répondaient pas en état de crise. Un jour, une infirmière osa demander à Nancy ce qui se passait : tout le monde avait remarqué que les patients de Nancy allaient mieux, plus vite que les autres et que leur parcours était plus agréable.

Les infirmières avec lesquelles Nancy travaillait ne voulaient pas faire du Reiki elles-mêmes, mais elles demandaient souvent des traitements. Aussi, elles envoyaient systématiquement les cas les plus complexes vers Nancy et non pas ailleurs.

Dans les couloirs de la section d’urgences, on entendait fréquemment : « Nancy, viens placer tes mains sur ce patient ! »

De temps en temps, Nancy Eos plaçait ses mains sur des patients qu’on avait classé « basse priorité », qui pouvaient donc attendre un peu plus que les autres. Et plus d’une fois, grâce au ressenti dans ses mains, Nancy a dû changer le degré de priorité du patient, lui évitant ainsi des complications voire même le sauvant.

Par exemple, une femme qui avait sauté d’un très haut camion : malgré ses plaintes et signes de douleur, il n’y avait rien sur son corps qui pouvait indiquer un état grave. Mais, quand Nancy a touché son corps pour la soulager un peu, ses mains ont réagi tellement fortement qu’elle a tout de suite su qu’il avait une crise.

On a tout de suite fait les examens en urgence et on a découvert qu’elle avait 4 côtes cassées, saignement interne dans un poumon et une contusion cardiaque.

Grâce au Reiki, l’état de la personne s’est stabilisé un peu et les soins médicaux d’urgence lui ont sauvé la vie. Quelques jours plus tard elle pouvait déjà renter à la maison.

Y a-t-il des désavantages dans l’utilisation du Reiki dans les unités d’urgence ?

« Il y a eu une période, dit le Dr. Eos, où je n’étais pas très sûre de moi et c’était très difficile parce que j’essayais de comprendre et décider dans quelle mesure utiliser les médicaments et dans quelle mesure faire confiance au Reiki. Je ne voulais pas faire de faux pas et ne pas donner un médicament quand il fallait et en même temps je ne voulais pas exagérer et donner trop de médicaments. J’étais en permanence en train de soupeser la meilleure façon d’agir, d’utiliser le mieux possible le Reiki et la médecine, toujours en pensant au bien du patient, pour un meilleur résultat.

Au début, elle a décidé d’être d’abord médecin et après Reiki. Mais rapidement elle a découvert les désavantages de cette décision.

Le TPA, un médicament qui a comme effet d’arrêter une crise cardiaque, coûte 1000 $ l’injection. Donc, quand il y avait une personne aux Urgences dans cette situation, elle demandait à l’infirmière de préparer l’injection et en attendant elle donnait du Reiki au patient. Mais quand l’infirmière arrivait avec l’injection, le plus souvent le patient n’en avait plus besoin. A un moment donné, l’administration de l’hôpital a commencé à demander pourquoi on faisait des prescriptions et après on n’utilisait pas le médicament ! Ce fut le moment où Dr. Eos a compris qu’elle devait trouver la solution pour introduire le Reiki officiellement sous peine de perdre sa réputation concernant sa capacité à émettre un diagnostique cardiaque.




Elle a voulu mettre en place un projet de recherche pour montrer officiellement les résultats du Reiki sur les patients. En parlant avec ses collègues des Urgences, dont certains étaient enseignants à l’Ecole de Médecine de l’Université de Michigan, elle a dû se rendre à l’évidence que ce projet ne sera jamais accepté par l’administration.

Il faut dire qu’à l’époque – il y a près de 15 ans – les thérapies complémentaires étaient sabotées consciemment par une majorité de médecins et organismes officiels.

Les médecins, en général, ont trouvé chacun leur solution devant le dilemme : comment agir en priorité ? En tant que médecin ou praticien de Reiki ? Par exemple, Patricia Bailey, médecin, a parlé sur cet aspect dans le journal Hospital Physician (Bailey P. Healing Touch. Hospital Physician, 1997;33(1)42).

Selon son récit, une jeune fille de 13 ans est arrivée aux Urgences en état d’arrêt cardiaque suite à une overdose d’antidépresseurs appartenant à sa mère. La patiente n’avait pas assez de signes vitaux pour être admise à l’hôpital. Malgré cela, l’équipe a travaillé sur elle pendant deux heures dans l’espoir de la sauver. Au bout des ressources médicales, Patricia place sa main sur le front de la patiente pour la déclarer décédée. A l’instant même, la jeune fille a commencé à absorber l’énergie Reiki ce qui a fait que sa tension sanguine a augmenté suffisamment pour être admise dans l’unité de soin intensifs cardiaques.

Plus tard, quand Patricia Bailey a terminé sa journée de travail, elle est montée rendre visite à la petite patiente. Son électroencéphalogramme était complètement plat : aucune activité cérébrale. Il était clair que la jeune fille sera déclarée officiellement décédée dans les 24 heures.

Patricia Bailey a toujours utilisé le Reiki dans son cabinet dans la Clinique de Santé Holistique où elle travaillait, mais elle ne l’avait jamais utilisé aux urgences. Mais à ce moment-là, se sentant plus visiteur que médecin, elle s’est permis de placer les mains sur le corps de la petite fille pour lui donner du Reiki : l’énergie passait librement et fortement vers son corps. Au bout d’un certain temps, la patiente a ouvert les yeux !

Et une semaine plus tard elle rentrait chez elle avec comme seule séquelle temporaire une légère paralysie d’un nerf crânien.

En tant que chef de l’unité de pédiatrie de l’Hôpital Lenox Hill de 1995 à 2000, Lawrence Palevsky était en charge de la Section Néonatale et aussi de l’Unité de soins intensifs en pédiatrie : là, il a utilisé le Reiki pour renforcer les effets des soins médicaux. On l’appelait fréquemment dans la salle d’accouchement en tant que pédiatre assistant, à chaque fois qu’il y avait le risque qu’un bébé naisse en état de choc ou avec des souffrances physiques et/ou des complications. Quand un cas de ce genre arrivait, il s’assurait que le bébé respirait bien et que la circulation du sang était correcte. Aussi longtemps que la respiration et la circulation étaient maintenues, il ne considérait pas qu’il était nécessaire d’intervenir médicalement, même pas dans les cas où le bébé était faible ou mou, qu’il ne pleurait pas, ou qu’il ne réagissait pas aux stimulants simples habituels. Et, tout en surveillant les appareils qui mesuraient les signes vitaux, il plaçait ses mains autour de la tête du bébé et de son corps pendant au moins 10 à 15 minutes. Habituellement, l’enfant ouvrait les yeux avant que ce temps s’écoule, les signes vitaux se normalisaient et il commençait à bouger et à montrer une force de plus en plus grande, comme si de rien n’était. Il ne restait plus qu’à le nettoyer et l’emmener vers sa maman, évitant ainsi une intervention médicale ultérieure.

Dr. Palevsky est arrivé à la conclusion que le Reiki aide grandement les bébés nés par intervention obstétrique, qui avaient souffert d’une extraction violente (par exemple avec le forceps) ou encore qui étaient nés avec des problèmes divers (cordon autour du cou, complications pour la maman à cause d’un travail prolongé, etc.).

Systématiquement, dans les cas où les infirmières auraient eu tendance à intervenir médicalement, L. Palevsky après ses neuf ans d’expérience aux Urgences et à l’Unité de soins intensifs, utilisait plutôt le Reiki et l’attente attentive. Pendant qu’il donnait du Reiki, Lawrence observait et guidait le personnel pour soigner le bébé parce que les soins et l’attention médicaux ne cessaient pas avant qu’il soit sûr qu’il n’y avait plus aucun danger. Dans les cas où les signes vitaux ne s’amélioraient pas assez rapidement, il intervenait médicalement et donnait du Reiki par la suite dans l’Unité de soins intensifs pour les nouveaux-nés.

La majorité des bébés qui ont eu des problèmes à la naissance et qui ont reçu du Reiki, n’ont pas eu besoin de séjourner du tout dans l’Unité de soins intensifs. Palevsky continuait à observer ses patients, même après le traitement de Reiki, et les suivait pendant tout leur séjour à l’hôpital, jusqu’au moment de leur décharge pour rentrer à la maison : aucun d’entre eux n’avait besoin d’une autre intervention médicale, aucun n’a eu une rechute, tous sont rentrés à la maison dans les délais habituels.

Un jour, un garçon de 12 ans, le jour après son opération pour lui insérer une tige dans la colonne vertébrale, s’est réveillé et a demandé un médicament contre les douleurs qui étaient de plus en plus fortes. Dr. Palevsky se plaça à côté de son lit et plaça une main sous sa tête et l’autre autour de la tête et lui donna du Reiki. Au bout de quelques minutes seulement le garçon s’endormi sans médicaments. Sa maman, muette, fut le témoin de toute la scène.

L. Palevsky a donné du Reiki pendant les traitements avec des nébuliseurs pour les enfants asthmatiques de tous âges, aux Urgences, à l’Unité de soins intensifs et dans son cabinet privé. En même temps, il leur enseignait comment respirer. En fait, certains enfants réagissaient parfaitement bien grâce au Reiki et à la respiration correcte et n’avaient plus besoin d’une autre intervention.



Grâce à sa riche expérience Palevsky est arrivé à la conclusion que l’utilisation du Reiki peut diminuer la quantité de médicaments, voire même les éviter. Etant donné que tous les médicaments et les procédures médicales incluent certains risques, les médecins sont d’accord sur le fait que moins d’interventions médicales sont réalisées, mieux c’est pour le patient.

Même dans les cercles médicaux, il est important de se rappeler la différence entre « guérison » et « healing ».

Nancy Eos se rappelle ce qui s’est passé avec un homme, juste avant sa mort : quand l’ambulance est arrivée avec ce monsieur, son cœur ne battait plus depuis 40 minutes, malgré toutes les procédures d’urgence avancées utilisées par le personnel pendant le voyage. Tenant compte de son état, la personne responsable de la Centrale a déduit qu’il allait être déclaré mort tout de suite et elle avait envoyé l’ambulance à l’hôpital où se trouvait Nancy, malgré le fait que dans cet hôpital il n’y avait pas d’Unité de soins intensifs.

Pour éviter les frais d’hôpital, Nancy monta dans l’ambulance pour prononcer son diagnostic officiel, et plaça sa main comme d’habitude sur la personne. Mais, au bout de quelques instants, elle retira sa main en se disant qu’après tout ce temps sans battements de cœur, même s’il revenait à lui, il aurait trop de dommages cérébraux.

Des instants après, malgré le fait que le patient était toujours en état de coma, son cœur recommença à battre normalement ! Tout le monde était stupéfait ! « Ça a été certainement le dernier wagon du dernier train ! » dit le technicien de l’ambulance. « Et pourtant, pendant les cinq dernière minutes, nous avons vérifié deux fois ! ».

Dans son état stabilisé, le patient fut transporté à l’Unité de soins intensifs la plus proche qui se trouvait à une heure de voiture où il mourut le lendemain à cause des complications.

Grâce au temps « supplémentaire », la famille a pu se rassembler pour lui dire au revoir. Aussi, le temps qu’il a passé à l’Unité de soins intensifs a permis que les mesures nécessaires soient prises pour que le désir du patient – faire don de ses organes – soit honoré.

Nancy Eos a eu une autre expérience semblable, quand le patient a souhaité que ses derniers désirs soient honorés. Cela se passait il y a une quinzaine d’années : une dame âgée, habitant dans une autre ville et en visite chez sa famille, arriva en crise aux Urgences dans l’hôpital où Nancy travaille, avec des problèmes respiratoires graves. Elle refusa l’intubation et insista pour rentrer chez elle, à près de 350 Km. pour voir son propre médecin. Le personnel des Urgences et celui de l’ambulance l’informèrent qu’elle ne supporterait pas le voyage et qu’elle pouvait mourir à tout moment, Cependant, la dame s’obstina. Nancy lui donna du Reiki autant que possible, jusqu’à la dernière minute ; pendant ce temps, visiblement la dame se sentait mieux, elle le remarqua elle-même. Finalement, l’ambulance partit sous une tempête de neige, la patiente ayant un niveau d’oxygène de seulement 50% (le niveau normal est de 97 à 100%).

La dame a survécu au voyage et n’est décédée que deux jours plus tard.

De nos jours, Nancy Eos utilise le Reiki dans son cabinet privé aussi souvent que nécessaire, mais l’expérience est différente. « En privé, l’effet bénéfique du Reiki n’est pas visible aussi facilement. Aux Urgences, même les maladies chroniques ont un caractère aigu, d’urgence. Dans le cabinet privé, ces sont des problème de tous les jours, il n’y a pas de précipitation, cela prend plus de temps et c’est moins dramatique. Dans ces circonstances, la guérison dépend aussi des émotions. Aux Urgences, le fait même qu’il y ait crise, fait que les émotions sont prises en compte seulement après avoir assuré la survie de la personne. »

Par contre, l’expérience de Jay Ferril, qui fait partie du personnel paramédical en ambulance, est différente. D’abord, il est le tout premier intervenant dans les situations d’urgence. D’autre part, sa fonction officielle lui demande d’enregistrer le problème de la personne, son historial médical et de décider ce qui convient à faire d’abord. « Parfois, nous donnons beaucoup de soins chez la personne, avant de partir vers l’hôpital. D’autre fois, on n’a pas le temps d’agir, il faut aller au plus vite aux Urgences. Dans tous les cas, pendant que je pense ce que je dois faire, je place une main sur le patient. Puisque je suis occupé à penser, je ne peux pas apprécier réellement quel est l’impact du Reiki sur le patient. » Et même quand il voit que le patient se calme rapidement et qu’il va beaucoup mieux, Jay dit qu’il est très difficile d’affirmer dans quelle mesure c’est le Reiki et dans quelle mesure c’est simplement la présence humaine à côté du patient en crise. Par la nature de son travail, il n’a jamais eu la possibilité de suivre les patients, une fois hospitalisés. Même dans les quelques occasions quand il a travaillé à l’hôpital aux Urgences - et non pas sur ambulance – il n’avait pas l’occasion de réaliser un vrai suivi.

Cependant, il peut affirmer parfaitement qu’il n’a jamais observé une réaction négative suite aux traitements de Reiki.

Soixante quinze pourcent des pompiers de la Côte Ouest ont une formation paramédicale également. En plus, Greg Wiley pratique le également Reiki. « Je ne pense au Reiki qu’au moment où les choses commencent à se calmer ; je me dis qu’il serait bon de faire aussi un peu de Reiki et je me rends compte que j’étais déjà en train de le faire ! ». Greg fait du Reiki sur la tête des patients pendant le trajet en ambulance vers l’hôpital et voit tout de suite les effets calmants du Reiki spécialement sur des personnes très anxieuses, surtout les personnes âgées qui ont un problème physique, comme par exemple une fracture.

Greg compte sur le Reiki également dans les cas où le patient décède avant l’arrivée à l’hôpital : il place une main sur l’épaule ou sur le dos des membres de la famille pendant qu’il dit des mots de consolation. Greg dit « dans toutes ces situations, nous nous retrouvons déjà dans l’espace personnel de ces gens, ils sont déjà ouverts à notre aide et faire du Reiki ne m’empêche pas de faire ce que je dois faire en tant que pompier. »

Des patients qui ont un problème (blessure ou maladie) qui ont besoin d’aide mais pas d’une façon vraiment urgente, vont souvent par eux-mêmes aux Permanences ou aux Centres de soin, spécialement s’ils n’ont pas un médecin de famille ou si c’est en dehors des heures de consultation. Todd Patton, médecin, a travaillé dans des Centres de soin, des Permanences et aux Urgences pendant 17 ans et depuis un an il a ajouté le Reiki. Il pense que le Reiki peut aider en cas d’urgence entre autres parce que les gens viennent dans un état d’anxiété avancée : ils souffrent, ils ont besoin de soin d’urgence et ils se retrouvent devant un médecin qu’ils ne connaissaient pas. « Le rythme très rapide aux Urgence fait que c’est impossible de donner un traitement de Reiki classique, mais je place mes mains comme je peux et j’ai observé que le Reiki passe. Je reste peut-être un peu plus longtemps avec mes mains sur une fracture, ou même avant de faire l’examen habituel, je laisse mes mains sur l’endroit blessé pendant que le patient me raconte ce qui lui est arrivé. Et le Reiki passe librement. »

Malgré le fait que Todd observe comment ses patients deviennent plus calmes, au fur et à mesure que le Reiki passe, il dit aussi qu’il est impossible de savoir dans quelle mesure c’est le Reiki et dans quelle mesure c’est sa présence calme, sereine et ouverte.

Même s’il n’y a aucun moyen pour être absolument sûr ou pour quantifier les effets de l’apport du Reiki aux urgences, « équiper » les professionnels de la santé avec des mains Reiki ne va pas faire du mal, cela pourrait même aider et ça c’est leur travail – aider !

Pamela Miles

(Vous pouvez contacter Pamela en anglais au : Info@pamelamilesreiki.com)

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